De la mort qui rue

le spectacle

La mort, moins on y pense et mieux on se porte ! Avec De la mort qui rue la Vouzénou compañî propose de faire tout l’inverse : pendant une heure, dans un solo théâtral et philosophique plein d’énergie, Adèle Zouane nous questionne, nous soulève le cœur, se livre et nous invite à démystifier la mort, puisque face à elle nous sommes tous égaux…

Sans filtre et sans détour, avec beaucoup d’humour, elle met sur le tapis ses propres angoisses pour mieux les conjurer, les affronter et s’en moquer allant même jusqu’à proposer un cours de préparation à la mort !

Voici un véritable exutoire tout autant que manifeste nécessaire pour redonner sa juste place à la grande faucheuse, préparez vous à mourir de rire… et vous sentir bien vivants !

On n’aura droit qu’à une seule mort, chacun la sienne, alors autant commencer à s’y entraîner tout de suite, non ?

Spectacle
Tout public
Les enfants accompagnés sont les bienvenus à partir de 7 ans

Durée
58 minutes

Distribution 
Adèle Zouane : comédienne, auteure 
Jaime Chao : régie technique, jeu

Production
Vouzénou compañî
Préchac (Sud Gironde)

Diffusion
Si vous souhaitez faire venir ce spectacle
contactez François, notre diffuseur

Technique
Sonorisation fournie
Spectacle joué de préférence à la lumière du jour

Soutien
Association Chahuts
Bordeaux Saint-Michel / Benauge

Co-production et accueil en résidence
Carré-Colonnes Scène nationale
Saint-Médard-en-Jalles / Blanquefort

le teaser du spectacle

la presse en parle

Une pièce burlesque et métaphysique qui relie, comme rarement au théâtre, les vivants que nous sommes. Une vraie expérience collective. Et un drôle d’exutoire.

Causette
Notre sélection OFF d’Avignon spécial « seules en scène »
Sarah Gandillot et Cathy Yer
le 7 juillet 2022

On roule à tombeau ouvert à travers un texte bien écrit, bien pensé, et on dévale dans un esprit d’escalier plein d’à-propos qui lorgne gentiment vers les jeux à la Devos.
La mort comme on aimerait la voir : Adèle Zouane et Jaime Chao font un spectacle joyeux et frais. Comme un joli bouquet d’enterrement… »
 

Sud-Ouest
Jean-Luc Eluard
le 11 juin 2021